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mercredi 26 janvier 2011

Loup, y es-tu ? - Henry Courtade

Editions Mille Saisons, 2010, 344 p.

Et si les êtres maléfiques des contes de notre enfance existaient réellement?
Sans doute ces créatures vampiriseraient-elles notre planète. Elles seraient de tous les génocides, manipuleraient les plus grands dictateurs. Bref, tapies dans l’ombre d’Hitler ou sous le feu des projecteurs des plateaux télé, elles auraient entre leurs mains expertes le devenir de l’humanité.
Sinistre tableau !
Si de tels êtres vivaient, il serait à souhaiter que leur alter ego bienfaisant existe également. Qu’en ce début du XXIe siècle, ces personnages merveilleux s’éveillent et décident de se battre.
Et alors, qui sait de quel côté la balance pencherait…

   Dans un premier temps, je tiens à remercier sincèrement les Editions Milles Saisons, ainsi que Livaddict qui m'a une nouvelle fois fait découvrir un très bon auteur avec un roman vraiment super.
   Loup, y es-tu ? est un roman dont j'avais déjà entendu parler une ou deux fois sur le forum, sans jamais réellement m'attarder sur le sujet. Enfin ça, c'était jusqu'à ce que je tombe sur le résumé du livre. Tout de suite, j'ai été prise dans le truc. Ça faisait un petit moment que j'avais envie de lire une réécriture des contes qui ont bercés mon enfance, comme ils ont dû bercer l'enfance d'un sacré nombre de personne. 
   Ce roman d'Henry Courtade convenait à priori à un roman entraînant et très original. A posteriori, ce roman est entraînant et très original!
Sincèrement, je ne m'attendais pas à tant. Mais les personnages des contes d'autrefois nous sont ramené dans la réalité - notre réalité et notre Histoire. Et cela de manière remarquable, il faut l'avouer.
    Du côté des personnages, je n'ai pas su m'attacher à l'un plus que l'autre. D'ailleurs, j'ai du mal à savoir si ce qui me plaisait dans chacun d'eux était ce qu'ils étaient dans le roman ou si c'était les souvenirs d'enfance qu'ils faisaient remonter à la surface. 
    Par contre, ce que j'ai adoré c'est l'allusion à toutes les couleurs et les noms qui caractérisaient les personnages. Je ne vais pas tout vous dévoiler, mais les références aux goûts et au physique des personnages m'ont vraiment séduite.
   Au niveau de l'intrigue, sincèrement, je félicite l'auteur pour son travail. Il a su prendre des personnages et leur histoire datant d'un temps jadis et les incorporer à un temps que nous connaissons tous, notre présent à nous. Il a sur les incorporer à des vérités qu'on apprend dans les livres d'histoire. Et je pense que c'est ça qui a su rendre à mes yeux l'histoire plus réelle encore qu'elle n'aurait pu l'être.
    Vous l'aurez compris, ce livre fut un vrai plaisir à lire. D'ailleurs, je le conseille à chacun de ceux qui ont envie de retrouver leurs personnages préférés d'il y a quelques années sous un nouvel angle.
    Et je tiens à remercier encore une fois tous ceux qui m'ont permis de découvrir ce roman.


lundi 24 janvier 2011

Défi Livre Qui Dort 2010

Editions Pocket, 2006, 491 p.

   Après avoir exploré l’enfer du monde de la mode sur les traces d’une de ses plus célèbres gargouilles dans "Le diable s’habille en Prada", la jeune (28 ans) et fort séduisante Lauren Weisberger poursuit son exploration des abysses de la branchitude. Évidemment, ça se passe à New York, qui n’est qu’une fête perpétuelle, comme chacun sait. Chacun, sauf la malheureuse Bettina – Beth pour les intimes –, qui travaille 28 heures par jour pour une banque d’investissement. Pauvre Beth, dont l’univers affectif se résume à un yorkshire énurétique, un oncle journaliste et une amie fiancée !   Heureusement, par la double grâce d’une démission et d’un piston, la voilà précipitée dans le monde féerique et frénétique des relations publiques. Adieu tailleurs stricts, dîners solitaires, sorties entre amis ! Bonjours tenues affriolantes, grands restaurants et mégafêtes de promotion ! Mais notre Candide montée sur talons aiguilles le comprendra assez vite, tout n’est pas si rose dans ce milieu où les visages amicaux dissimulent des chroniqueurs malintentionnés, des confrères cultivant l’art du planter de poignard dans le dos ou des playboys inconsistants (dans tous les sens du terme). Ouf, il y a aussi Sammy, videur apollonien, qui sous ses airs bourrus cache peut-être un authentique prince charmant… Bref, si le deuxième roman de Lauren Weisberger n’a pas l’acidité du précédent, il fournit le nécessaire pour rêvasser sur une chaise longue. Sans risquer la migraine.




   Il y a quelques mois, je me suis inscrite pour le défi du Livre qui Dort sur Livraddict. Le principe était simple: on donne une liste des livres qui prenaient la poussière dans notre bibliothèque, et le prochain participant choisit lequel vous deviez sortir. 
   On m'a désignée ce livre, et sans grande joie je me suis lancée dans la lecture.
   Je l'avais déjà démarré il y a genre trois ans, et je n'avais pas passé les premières pages. Et à vrai dire, ce ne sont ces avis sur la toile qui m'ont motivée. 
   Malgré tout, je me suis lancée dans l'aventure. 


   C'était le premier roman du genre que je lisais. La Chick-Lit, ce n'est pas vraiment mon genre.
   J'ai lu un petit nombre de page, attendant que l'intrigue démarre. C'est devenu intéressant un petit moment, puis en fait non. Rien n'avait encore commencé. Je sais bien que pour un livre de 500 pages, l'intrigue ne peut pas commencer au bout de 20. Mais je passais la centaine, et il me fallait un minimum pour m'intéresser.
Bref, j'ai fait une pause. J'avais besoin d'autre chose à lire.  L'once de plaisir que j'avais pu ressentir à un moment du livre n'était pas assez importante pour me faire patienter 100 pages de plus.
   A la fin de ma lecture d'entre-deux, j'ai repris celui-ci. Mais sincèrement, impossible. Je lisais en diagonale, et encore c'est peu dire. Je m'ennuyais ferme
   Le livre n'avais pas vraiment de style, je n'étais pas attachée aux personnages... Pas grand chose pour me plaire, en fait.
   Pour mon premier défi, ce n'est pas un grande réussite. Au final, je l'ai abandonnée à un peu moins de 150 pages. 
   Malgré tout, je suis contente de l'avoir sorti de ma PAL, et de lui avoir donné une chance - bien que ce ne fut pas très fructueux.


   Je redonnerai peut-être une chance à ce genre, mais laissez-moi un peu de temps ;)



lundi 10 janvier 2011

Remettons les compteurs à zéro.

   Ça fait bien un sacré moment que je ne me suis pas connectée pour mettre mon petit blog à jour.
   C'est terrible, je ne m'en sors pas. Je n'ai pas une seule minute à moi.
   Alors je profite d'un moment d'insomnie pendant ma période d'examens pour un point sur l'année qui vient de s'achever.

   Tout d'abord, Bonne Année. J'vous souhaite à chacun les meilleurs découvertes livresques pour l'année 2011.

   Maintenant, passons aux choses sérieuses! :D
   Voici le compte rendu de 2010, pas si facile à faire que ça puisque ce blog ne remonte qu'à Avril:
   Durant cette année, j'ai lu 41 livres. Ce qui est plutôt pas mal pour une première année :)
   J'ai aussi fait 1 abandon, dont je vais parler dans mon post suivant. Il s'agit de People or Not People.
  Enfin, je ne saurais vous dire si ce dernier point est bon ou mauvais... Ma PAL s'élève à (d'après ce que j'ai rentré dans Bibliomania) 62 livres ! Je ne peux pas comparer ce chiffre à celui du début, car... Je n'ai aucune idée de celui-ci.

Mon objectif pour 2011: lire au moins 42 livres, et baisser cette PAL :D

   Pour cela, je participe au Challenge "Ta PAL est grosse?" sur Livraddict. Il s'agit de comptabiliser les livres qui entrent et ceux qui sortent de la PAL par un système de point.
   J'avais déjà participé à la première session. J'étais bien partie, mais ça s'était gâté sur la fin. Cette fois, j'ai l'intention de m'y prendre correctement.
Et même si je suis un peu longue au démarrage - ouais, tout de même 10 jours pour faire mon article - ça va le faire ;)
   Comme je l'ai dit au dessus, ma PAL est à 62 livres.

Je souhaite un super Challenge à tous les participants qui passent dans le coin :)